Des nouvelles du cheptel
En juin, nous avons laissé derrière nous Pamuk et notre équipe de cailles chez Esma, notre femme de ménage. Vu les températures records de cet été et l'état des "cages" qu' Esma avait préparé pour accueillir les bestiaux (je devrais plutôt parler de sculpture post-contemporaine composée d'agglomérats divers et variés (je vous passe les détails au cas ou Brigitte Bardot lirait ce message) c'est avec une certaine résignation que nous les avons abandonné... ça fera bien le bonheur d'un chien sauvage du quartier. Apparemment ils s'y sont bien plu, les cailles sont d'ailleurs restées là-bas... enfin les deux qui ne sont pas mortes. Pamuk ne s'est pas ennuyé non plus, des experts se sont penchés sur son intimité pour finalement conclure qu'il s'agissait d'une lapine. Aussitôt le verdict tombé, les fils d'Esma lui ont cherché un copain... Comme disait Papi Codron "les bons coqs ne sont jamais gras" il semblerait que cela s'applique aussi aux lapins (faudra avoir confirmation auprès de la Lucette) car notre râblais de Roukmout qui doit bien peser 2kg de moins que Pamuk se retrouve à la tête d'une famille de 5 lapereaux nés hier soir.